Le « Ré »

Il existe évidemment une racine  » du pourquoi du comment  » à tout projet professionnel,
je ne dois pas faire exception à la règle.

Rarement dans la passé, j’avais de fait oublié que les prémices de mes affinités commerciales en matière de bar restauration, s’étaient dessinées dés mes premières expériences.

Je comprends ainsi que l’envie du CabaRé s’est imposé à moi sans vraiment l’avoir projeté.

Le commencement se situe à Valence, tiens donc dans la Drôme, en 1985, ma première petite entreprise, le bar du Dauphiné.

Déjà, le week-end, les platines étaient au rendez-vous, et le barbecue en extérieur était de sortie. Je me souviens également de ma première fête de la musique la même année.

Unissant forces et compétences avec une amie voisine restauratrice, l’équipe s’était formée pour l’occasion: comptoir en extérieur, grandes tablées pour y recevoir un repas convivial et groupe de musique en live sur la terrasse, quelle soirée, quel pied!

Mes attirances professionnelles en la matière étaient ancrées.

Des expériences à San Francisco, Londres, Sydney, Paris, Cannes, Aix en Provence entres autres, auront renforcées cette sensibilité, ou tous ces ingrédients se retrouvaient.

Puis, fut le temps d’expériences plus conventionnelles dans le métier ou l’on me retrouve jusqu’alors à Nyons.

Le café de l’Avenue vendu, hasards et relations m’ont mis sur le chemin de l’espace lieu dit  » la petite tuilière » à Grignan, enceinte qui abrite le village provençale miniature.

Je découvre la situation géographique, l’environnement, un lieu disponible.
Bien que sans attentes particulières le jour de ma confrontation avec cet espace commercial, présent en tant que spectateur du lieu, mon avis a été sollicité sur les possibilités qu’il pouvait offrir.

En y mettant les ingrédients qui me sont chères et pris au jeu, la suite, me voici vous racontant en quelques mots « le pourquoi du comment » du CabaRé.

Rénald